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Imaginez Johnny Depp, Cara Delevingne, Robert Pattinson, Gigi Hadid, Virgil Abloh et même Karl Lagerfeld tous ensemble, au même moment et dans la même pièce.
C’est à peu près ce qui est arrivé ce soir du jeudi 4 juillet au Studio des Acacias, à Paris, où le magazine Numéro organisait son exposition célébrant 20 ans d’une collaboration créative avec Jean-Baptiste Mondino, connu pour avoir photographié les plus grandes stars.
Jusqu’au 20 juillet, « Mondino Numéro » présente 100 photos prises par Mondino pour le magazine de mode français ces 20 dernières années, incluant des clichés iconiques comme celui de Karl Lagerfeld grattant une guitare électrique en apesanteur ou de Björk posant avec un ours empaillé.
Chaque photo signée par Mondino est disponible à la vente sur le site internet de Numéro, dans une gamme de prix allant de 750 à 1500 euros. Virginie Ledoyen est l’un des nombreux visages a avoir été immortalisé par Mondino ces dernières années. « Il sait exactement comment capturer votre personnalité » indique l’actrice française, dont le prochain film « Notre-Dame », réalisé par Valérie Donzelli, sortira en décembre « il y a toujours beaucoup de liberté, mais il parvient à vous guider ».
La star de la soirée était accrochée au bras de la rédactrice en chef du magazine, Babeth Dijan, tandis que les invités l’entouraient pour le féliciter : du directeur artistique de la maison Mulberry Johnny Coca à Alber Elbaz, en passant par l’ancienne première dame, Carla Bruni-Sarkozy.
« Nous nous connaissons depuis plus de 20 ans, je crois que nous nous sommes rencontrés à la libération de Paris, au même moment que Karl Lagerfeld » plaisante Jean-Baptiste Mondino en parlant de la relation qui l’uni à Babeth Dijan. « J’ai tellement de bons souvenirs de notre collaboration avec Babeth et Numéro, j’ai l’impression que l’on est constamment ensemble » poursuit le photographe, également connu pour avoir réalisé les clips de Prince, Madonna et Vanessa Paradis.
« Je me souviens de beaucoup de fous rires et d’accidents sur les shootings. Ce qu’il y a de bien avec les accidents, c’est qu’avec le temps, ils se transforment en bon souvenir. Quand les choses se déroulent bien et que vous sirotez du rosé près de la piscine, c’est le genre de situation qui vous laisse rarement des souvenirs qui durent ».