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C’est en 1957 que Gabrielle Chanel connaît un succès retentissant aux États-Unis. Ce pays apprécie déjà la styliste, mais il offre, cette année-là, un accueil particulièrement chaleureux à ses nouvelles collections.
C’est, d’ailleurs, cette même année que la créatrice reçoit le prix Neiman Marcus Award en tant que créatrice de mode la plus influente du XXe siècle. C’est donc en l’honneur de cette période de la vie de Gabrielle Chanel et de son lien avec les États-Unis que la maison a baptisé son tout nouveau parfum : 1957.
Olivier Polge, parfumeur de la marque, le décrit comme une : « superposition immaculée, confortable et enveloppante, douce, presque molletonnée ». Il explique que la griffe Chanel s’est inspiré du : « dessin d’une perle fétiche de Gabrielle Chanel, ses contours délicats rendus insaisissables par les reflets changeants ».
Composé de huit muscs blancs, de touches vanillées, cédrées, miellées, mais également de poivre rose, de graine de coriandre et de fleur d’oranger : « 1957 est un trait d’union : il réinterprète la parfumerie américaine avec l’idée du parfum à la française que se font les USA ».