En ce mois de mars, Kering a annoncé plusieurs évènements artistiques. Leur point commun ? Un engagement qui s’inscrit dans la durée en faveur de la défense des droits des femmes. Et pour faire entendre sa voix sur ce sujet de société, Kering a choisi de soutenir le travail de plusieurs artistes féminines engagées.
Kering et l’art : carte blanche à Malika Favre
Le 8 mars dernier, pour la Journée internationale des droits des femmes, Kering a révélé sa nouvelle carte blanche. Chaque année, le groupe de luxe français demande à une artiste de réaliser une œuvre inédite. Cet engagement artistique est l’occasion de rappeler les engagements de Kering en faveur des droits des femmes tout au long de l’année.
Cette année, Kering a offert cette carte blanche à Malika Favre. Elle a imaginé une fresque sur le thème de la sororité. « Des femmes se succèdent, dont les regards se croisent et les gestes se joignent, laissant apparaître dans chaque tableau un oiseau blanc évoquant la colombe, afin de rappeler que les droits des femmes sont le fruit d’un combat pacifique sans cesse renouvelé. »
Women in Motion 2025 : Kering honore la photographe Nan Goldin
Les liens entre art et féminisme se cultivent aussi via le prix Women in Motion de Kering. En effet, le groupe de luxe défend depuis déjà dix ans ce programme artistique. Il s’agit de mettre en lumière les femmes dans les arts et la culture. Et cette année, le prix honorera le travail de la photographe Nan Goldin lors des Rencontres d’Arles. Pour l’occasion, l’œuvre Syndrome de Stendhal fera l’objet d’une exposition à l’église Saint-Blaise d’Arles.
En honorant le travail de Nan Goldin, le groupe Kering souhaite là encore soutenir une œuvre engagée en faveur des droits des femmes. « À travers son œuvre, Nan Goldin a représenté les femmes en dehors des normes patriarcales, mais aussi les communautés de l’ombre. Grâce à ses portraits intimes et bruts, elle déconstruit les stéréotypes de genre et met en lumière les réalités de la violence domestique, du désir et de la marginalité. »