|
|
|
|
La toute jeune marque Louise Harlé signe le retour en force du chic bohème parisien. Elle est aussi le symbole d’une nouvelle génération de créateurs, très attachés aux vêtements de qualité, aux belles matières et aux coupes simples. Ce luxe sans trop de sophistication défendu par Louise Harlé a déjà séduit les pages mode des magazines féminins. Désormais, la marque compte bien séduire les clientes.
Louise Harlé, une histoire de famille
Louise Harlé, c’est d’abord une histoire de famille. Emilie Bonnouvrier-Amzelek est une passionnée de mode. D’abord journaliste pour des magazines de mode, elle décide de se lancer en créant sa propre marque de vêtements pour femmes. En 2017, elle met au point le projet Louise Harlé avec le soutien de son mari, qui l’aide à développer le business-plan de sa toute nouvelle entreprise. Le nom de la marque ne doit rien au hasard : Louise est le prénom de sa fille, et Harlé est le nom de famille de sa grande-tante. Bien connue dans le monde de la mode parisienne, Catherine Harlé avait été la première femme à créer sa propre agence de mannequins en France.
Une 1e collection à la bohème assumée
La première collection de la marque, baptisée Amore, met les belles matières à l’honneur : du coton égyptien, de la dentelle et du satin. Autant de matières simples mais qualitatives, déclinées avec des imprimés faussement rétro et des couleurs très féminines. Pour choisir ses fournisseurs, Louise Harlé a privilégié des artisans au savoir-faire reconnu. La créatrice Emilie Bonnouvrier-Amzalek est allée chercher ses tissus en France, en Italie et même au Japon pour sélectionner certains textiles fabriqués selon une tradition nippone ancestrale.
Les premières pièces de la collection qui ont été dévoilées font la part belle à une inspiration très années 1970, avec des pantalons larges, des top asymétriques et des robes-kimonos. Cette collection bohème et romantique respire l’optimisme, comme avec les vêtements à message « Chance » ou « Dolce Vita ». Le logo de la marque est même un trèfle à quatre feuilles.
Côté marketing, Louise Harlé compte bien séduire les trentenaires, et notamment les jeunes mamans : une gamme coordonnée décline les vêtements « de grandes » en taille enfant pour les petites filles. Les clientes peuvent aussi bénéficier du service de personnalisation des modèles qu’elles choisissent. Ce service est gratuit et les assure de posséder des pièces vraiment uniques.
