|
|
|
|
La Fashion Week de Paris permet à certaines structures à part dans le milieu de la mode de gagner un peu en exposition. C’est le cas cette année de Woolmark, association sans but lucratif dédiée à la défense du travail de la laine, qui propose ces jours-ci deux collaborations sur le segment féminin : l’une avec Koché, l’autre avec Jacquemus, et ce pour la première fois.
Woolmark, qui a une nouvelle équipe en France, a également poursuivi son partenariat avec Zadig & Voltaire pour la deuxième année consécutive. L’idée directrice de l’association est de continuer à promouvoir ses relations avec des créateurs. Instigatrice du Prix international de la laine en 1954, elle avait ainsi salué les designs de Karl Lagerfeld et Yves Saint Laurent et contribué à leurs popularités dans leurs débuts de carrières.
Pour continuer cette large tâche, l’organisation met à disposition des maisons de couture ses ingénieurs textiles, afin de démontrer aux artisans la diversité de la laine et ses propriétés de fibre naturelle, respirante et biodégradable.
En octobre, elle continuera sur sa lancée avec deux collaborations prochainement dévoilées : l’une avec le spécialiste du sportswear hivernal Fusalp, l’autre avec le bien-connu fabricant breton Saint-James. Financée par 60.000 producteurs de laine australiens, Woolmark a annoncé l’expansion de sa filiale parisienne, qui devrait quitter ses locaux actuels place Vendôme en 2019 pour un plus grand siège.