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Brigitte Bourguignon, ministre déléguée chargée de l’autonomie, s’est rendue à l’atelier de haute couture de Christian Dior à Paris pour détailler un accord signé entre l’entreprise et l’état.
La société s’engage ainsi à soutenir davantage ses salariés qui aident un proche âge dans leur famille, en délivrant notamment des jours de congés supplémentaires aux concernés. Les mesures prises permettent également aux employés d’être accompagnés dans les démarches administratives nécessaires.
Comme l’a rappelé Mme Bourguignon, cette politique devient cruciale à une époque où nous « souhaitons tous aider les personnes que nous aimons sans que nos parcours professionnels s’en trouvent affectés ». La responsabilité sociale et environnementale de Christian Dior continue d’être promue ce biais. La griffe a précédemment signé un accord sur l’égalité des sexes, ainsi qu’un texte sur le travail à distance.
Ces trois dernières années, l’assistance sociale de l’entreprise, Sylvie Ledoux, a identifié près de 40 personnes au sein de Dior comme nécessitant des aménagements. Elles s’occupent d’un parent, d’un enfant ou d’un conjoint, par exemple. On trouve dans la maison des salariés âgés de 18 à 75 ans, et l’entreprise a beaucoup recruté parmi les plus de 50 ans depuis 2017, un public particulièrement touché par les problématiques d’aide familiale.
Les mesures sociales sont au cœur de la stratégie de LVMH, à une époque où les consommateurs questionnent les responsabilités prises par les firmes de luxe dans le traitement du climat ou de ses collaborateurs avant d’acheter telle ou telle marque.